Par Tikum Mbah Azonga
Tous ces oiseaux qui nous survolent
Ignorent grandement cette journée de deuil
Le jour où les frontières se sont fermées
Le jour où rois et valets se sont séparés.
A leur insu, la chasse à l’homme a commencé
Car le nouveau élu cherche à confirmer nos pires peurs
Voilà pourquoi le ciel s’assombrit farouchement
On pleure une nation désormais maudite.
© 2009
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