(Ou mémoires nostalgiques de la cité exotique de Douala)
A Noelle
Par Tikum Mbah Azonga
Le lait n'est plus chaud
Et le débat n'est pas encore clos
Alors, tous ces oiseaux de fortune
Qui survolent l'immense océan sans dunes
Ne font que perdre leur temps
Car le réveil de Douala est en panne.
Que Monsieur le Délégué du Gouvernement le souhaite ou pas
Il finira par partir de là-bas
Pour venir se renseigner à l'Écho de Bonanjo
Car c'est là la clé de voûte et son fameux do.
En tout cas, toutes ces belles métaphores ne veulent rien dire
Alors, à quoi bon songer à prédire?
Copyright 2010
Ce poème a été écrit par une belle soirée du mois d'octobre 2004, pendant que je sirotais une boisson bien glacée au sein de l'Echo de Bonajo à Douala, en compagnie de mon grand frère Dr. Michael Fosuh Geh.
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