Par Tikum Mbah Azonga
Tu as tort, mon amie
Tu dis que ton monde tourne en rond
Que tes enceintes sont toutes sacrées
Mais je pense que toutes ne sont que de fausses processions
Serrées par des balles pathétiques, loufoques et lugubres.
Ce que tu raconte est faux, archifaux
Ton sacre visage voile
Me dis exactement le contraire
Ta figure rayonne, non ?
Ton aura vibre et génère
Mlle et une étincelles de flamboyance
Alors, comment peux-tu dire que tu es finie ?
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